Des couleurs de feu mêlant un rouge intense, un jaune acide et un rose pâle d’une incroyable douceur. Un ballet incessant de nuances, changeant à chaque minute, rendant chaque instant unique. Des cascades immenses, blanches, vertes et bleues, d’une puissance presque effrayante. Des paysages lunaires, apocalyptiques, mêlant des couleurs ternes, verdâtres, marrons, sublimés par une couche de neige d’un blanc immaculé. Des routes noires, ponctuées de jaune, si longues et pourtant si courtes à la fois, quand chaque kilomètre dévoile sa propre vérité. L’Islande, terre d’émerveillement, m’a rappelé à quel point la nature est notre bien le plus précieux, à quel point nous ne sommes à peine plus que rien sur cette planète unique qui est la notre, à quel point il est essentiel de quitter parfois son chez soi pour ouvrir, enfin, vraiment les yeux. 
Ces lignes seront les seules. Je crois que l’Islande est, à tous les points de vues, un pays qui se vit plus qu’il ne se raconte.
Dans ce pays je reviendrai, j’en ai la certitude.

Reykjavik et ses rues si chaleureuses.
La capitale, havre de paix et de plénitude.
Ici le sable est noir.
Les chevaux Islandais viendront forcément vers vous si vous allez vers eux.
Cela doit être ça, la vie en rose.
Mon (petit) 4×4 au cœur de son (très grand) environnement.
Ailleurs.
Le plus beau… le plus incroyable des spectacles.
Arnartapi, à ne pas confondre avec Bernard Tapie.
Les routes Islandaises font partie intégrante du voyage.