Istanbul 2021

Quatre jours à Istanbul, seul, mon appareil photo à la main. Une immersion dans la vie des habitants de cette ville mythique et mystique.

Ma première véritable expérience 100% photo.

Les Petits

L’enfant a ce don extraordinaire de voir partout les couleurs qu’il a dans son propre cœur. Romain Gary

Mon copain
Si on pouvait tous voir l’autre comme ce petit l’a fait. Sans méfiance, sans défiance, juste comme un autre pas si différent de soi.
Il m’a vu, il m’a sourit, j’ai déclenché, je l’ai remercié, il a voulu se voir, je lui ai montré, ça l’a fait marrer, on s’est sourit, mutuellement, sincèrement, et puis on s’est dit au revoir.
Merci mon copain. Que te vie soit aussi belle que ce moment que tu m’as offert.
Où va-t-elle ?
Vers le noir infini ?
Vers sa nouvelle vie ?
Son visage, on ne le voit pas, mais on le sait doux, pareil à son sourire léger, ensoleillé.
Elle est de ces femmes belles sans que l’on ait besoin de dire pourquoi.
Sa douceur l’enveloppe, un nuage invisible de paix.
Sa mélodie est belle, envoûtante, mystique.
Elle était là, pour un instant, pour un dialogue muet choyé par la lumière.
Elle était là.
Tu étais là.
Merci pour ça.

La cigarette

Le regard de celui qui fume révèle quelque-chose qui touche à la mélancolie.
Comme si l’air absorbé au travers de la cigarette se chargeait des tourments du fumeur, pour l’en libérer dans cette fumée blanche presque salvatrice.
Je vois dans le regard du fumeur quelque-chose de pur, quelque-chose de vrai. J’ai le sentiment d’y voir les gens, véritablement.

Réalités contrastées

Connexion voilée